D’après le Comop, il faudrait passer de la « Gestion intégrée des zones côtières » à la « Gestion intégrée de la mer et du littoral », et ce afin de mieux prendre en compte les océans en tant que tel, et non plus seulement son interface principale avec l’activité humaine. Les schémas d’aménagement de gestion des eaux (Sage) sont vus comme une solution permettant de réduire la pollution marine.
Cependant, des phénomènes de contamination persistent, et le fait que des questions telles que les centrales nucléaires côtières aient été exclues des zones de recherche du Grenelle ne permet pas de prendre en compte les pollutions qu’elles engendrent, l’exemple de l’usine de retraitement de La Hague étant particulièrement connu pour le phénomène.